Hello tous le monde,
Retour du tekos de Roumanie qui se situait a BAIA MARE a 1 680 km de Besançon.
comme je l’avais dit nous n’avons pas pu trouver de conducteur pour y aller, nous avons donc pris le train à Bienne direction Zurich mercredi 18/08 contrôle des billets et biensur pour économiser nous sommes monter illégalement mais le contrôleur nous a dit que c’était cool pour nous ! il reste encore des gens humain ca fait plaisir.
bref, avec 2 billet pour environs 200 euros nous sommes partis direction Budapest en Hongrie vers 22h00, 13h de train en couchette (6 par cabine) avec des hongrois super cool et un suisse allemand.
Nous sommes arriver vers 11h00 a la gare de Budapest , une immense gare avec une architecture d’après guerre communiste !
Direction zone internationale de billet, achat pour Baia Mare 72 euros pour 2 billets trop pas cher ! la classe.
le temps d’attendre avec nos 2000 forint (1 euro = 280 forint) achat de clopes, boissons et kebab aux légumes trop frais é é…
Depart veres 14h00 direction Oradea ville Roumaine frontalière de la Hongrie, arriver vers le post douanier arrêt du train et contrôle des papiers de tous les passagers, vu que mon pote ponge avait son passeport Portugais expiré il est expulsé du train car hors europe (pour la Roumanie) c’est mort impossible de négocier et pas de bakchich !
donc je descend aussi et ils nous mettent dans un train pour Budapest, mais discrètement nous descendons juste après dans une petite ville : Berettyóújfalu.
nous tombons sur la fete du village avec une comédie musicale et un bar musical avec de la trance music et bieres trop pas cher !
Après avoir manger et bu nous prenons un taxi pour aller a Oradea (55 km pour 40 euros) arriver a la frontière refoulage de ponge et retour a pied direction Budapest lol mais un camion parqué près d’un grillage qui est pété nous permet de pénétré pour contourné cette douane !
Nous avançons discrètement au milieux d’une ancienne carrière au loin on peut voir douanier et routier à l’aide de jumelles après 20 min d’observation nous décidons de courir pour être enfin a l’abris derrières des tas de cailloux et dans des marécage avec pieds trempé.
Nous prenons un chemin de terre bien à l’abris de tout ennemis mais 5 min plus tard des chiens d’alarme se mettent a aboyer (au début on s’imagine se faire boofer) mais enfaite que dalle, mais en avançant un immense spot de lumière nous ébloui la face avec des cris : politia politia stop stop avec des sommation en roumain les bras en l’aire nous ne faisons aucune résistance…
3 flics super détendu dont le chef qui se pointe plus tard nous demande qu’est ce qu’on fout la, avec les billets de trains et en disant festival musique nous nous faisons comprendre.
Embarquer au poste de douane ou il y avait juste une immense pièce avec absolument rien !! Un flic revient avec un banc et l’autre flic va à l’autre ville photocopier le passeport portugais rire (paie tes moyens) l’ambiance est super détendue juste une question sur nos bagages : avez vous des armes à feux ?! et la fou rire générale au si bien eux que nous, nous répondons par no guns et no mafia…
Le chef nous dit de se coucher par terre et d’attendre 5h du matin (il est environ 2h00) mais il passe un coup de fil et nous dit qu’il y a un train pour 4h00 et qu’il peut nous déposer a la gare de Oradea !
Alors on grimpe dans le 4*4 tous neuf avec gyrophare et s’arrêtent vers un de leur collègue je site : portugaiche et la fou rire des douaniers certe, au passage un roumain monte avec nous et la dir. la gare.
On descend et attendons le train et biensur les horaires ne sont pas juste ! alors nous partons a l’opposé pour revenir a la case départ.
La un controleur nous suit depuis se loupage et nous assure le voyage sous bonne escorte jusqu’a Satu Mare ou nous devons attendre le train pendant 5H
Pour la monnaie Roumaine 1 euro = 4 lei (une bière de 1,5L = 8 lei sur le tekos)
Nous faisons cuire des pattes dans un parc mais la police criminelle ne tarde pas avenir nous contrôler pour qu’on dégage.
Retour a la gare pour acheter deux hot dog et dormir un coup. des roms arrivent et nous taxe des clopes et matte nos affaire en faisant beaucoup d’aller et retour, mais mon pote sort son couteau et l’aiguise puis ils partent.
Enfin le train arrive pour Baia Mare, deux roms montent avec nous et propose leur servissent mais refusons et on refile 2 euros (8 lei c’est enorme pour eux) puis nous quittent.
Sur le trajet nous apercevront un traveller et en discutant avec lui on s’aperçoit qu’il est belge et va eu tekos !
Arriver a Baia Mare nous allons les 3 voir un taxi et demandon le prix pour les carpates : 50 euros cool
mais avans nous passons dans un cyber café pour pecho l’infoline : 1 euro.
Avec cette info de l’orga :
Baia Mare direction Sighetul Marmatiei
Mara,take left to Runcu Baraj (orange flag) and keep the road up,
have a nice and smart party!!!!!!
BaIaMArEmArAlEfTle numero ne marchait pas et le type du taxi ne parlant que vite fait anglais nous dit ok en passant un coup de fil.Décollage pour Runcu Baraj (un immense barrage dans la montagne) puis après 1h ou 2h je ne serait dire et en demandant a des paysans qui nous répondent festival yes !!! nous arrivons sur le lieux.Quelque tente posée sur le haut et sur le bas quelque camions et un immense chapiteau jaune et rouge avec un bon mur posé.Au final le 1er soir il y avait 2 sons o.p avec trance music pour le chapiteau et psy trance / tribe tekno / tribecore pour le second avec une ambiance de folie.On en profite pour retourner vers la source avec des roumains avec qui on avait bu l’apero de l’alcool locale (super fort en alcool) nous proposent du milky way (lait + massération de beuh) un truc super acide mais super bon !Genre 2h plus tard les effets se font ressentir je vous laisse imaginer.
Pour décrire ce teknival je reprendrait cet extrait du report European Resistance – 1er mai 2010 –
Pologne :
Pendant 4 jours, dans un esprit d’autogestion – pas de vigiles, pas d’organisation, pas de sponsors, pas de tickets d’entrée – aux antipodes du climat de suspicion généralisée – nous avons réussi à passer un agréable moment.
Malgré la barrière de la langue, et le fait qu’une grande partie des gens ne se connaissaient pas avant d’arriver, le teknival fut riche de rencontres et tous les soucis du quotidien ont étés résolut dans un esprit fraternel.
Avec en tous une dizaine de sound systeme plus ou moins gros avec pour la moitié vente de boof vegan (végétarien), alcool (vodka etc…), teeshirt
Il y avait aussi des roumains qui avait leur grosse marmite et leurs boof traditionnelles : légume, porc mais trop trop bon, deux assiettes pour 8 lei soit 2 euros avec 6 tranches de pains, bouteille d’eau fourni et on pouvait en reprendre a volonté.
Les roumains qui t’amène des bières, qui se force a parler anglais / francais
des filles russes qui t’invite a venir fumer,
le sound autrichien qui ma laissé posé mes lives
la prune régionale a 70 % pour se réchauffer la nuit
des accolades rempli d’amour
et des trip et spirales de malade
Aucun vol, aucune embrouille a part 4 flics cagoulé avec des fusils qui fouillent les tentes pour trouver de la drogue ! (ca rigole pas)
Et musicalement trop énorme : beaucoup d’acid techno, du breakcore (meme du donny é é), dl’a grosse drum n bass, psy trance, tribe core et biensur de la grosse hardcore !
Un mix abstract hip hop de ouf d’une autrichienne ho yay avec live m.c d’une miss mais trop fort
genre a la m.i.a.
Par contre prodigy revenait trop souvent mais bon…
On a meme pu troquer des préservatifs, roule ta paille, eau distillé contre de la boof.
4 jours d’autogestion
de paysage magnifique
de smiley
de la menthe sauvage
l’eau de la source pour boire et te laver ! (avec savon bio biensur)
Un immense merci au sound.s Knoker’s de bretagne qui nous ont ramené jusqu’a budapest !!
car sans eux on aurait été bloqué (il nous restait que 111 euros)
Arriver a Budapest vers 1h ou 2h pour attendre que la gare ouvre vers 3h45 pour apprendre qu’il y avait qu’un train pour 19h10 (pour 106 euros 2 billets)
Rencontre d’une hongroise pour le retour a Zurich qui parlait française qui nous a donner des sandwichs jombon fromage.
A part 71 francs suisse (54 euros) d’amande pour Zurich – Bienne
bon retour !
comparé a la Roumanie qui n’est pas dans l’Europe, ce pays est rester très traditionnelle avec certe une pauvreté extreme mais un savoir vivre qui a mon avis soude la population et aussi un respect de la police.parfois il n’avait même pas de d’horloge dans certaine gare Roumaine rireJe conseille vraiment les teknival dans les pays de l’estle pote.a..borisPour nos photos c’est ici :roumanian teknival 2010 album